PATRICIA DUPAS

Vivre en harmonie avec le Reïki

Témoignage de Brigitte M.

Lorsque j’ai rencontré Patricia, je menais une vie stressante depuis de longues années et ne dormais alors qu’avec des somnifères, dont je n’étais jamais parvenue à me sevrer depuis plus de 20 ans. Je venais en outre d’apprendre que ma chienne de 16 ans que j’adorais, était atteinte d’une maladie dont elle ne guérirait pas et cette nouvelle m’avait accablée.
Elle demandait beaucoup de soins et je devais la descendre dans mes bras parfois trois ou quatre fois par nuit (elle pesait 12 kg), pour qu’elle puisse se soulager. J’étais donc particulièrement épuisée et malheureuse, et mon kiné m’a alors suggéré de faire une séance de REÏKI, en me disant que je ne perdais rien à essayer. ..

Je ne savais rien alors de cette technique de soin, et m’attendais à une séance de massage détente dont je doutais un peu de l’efficacité face à mon déplorable état général.

La première séance m’a laissée lasse mais immensément sereine, je me souviens avoir beaucoup pleuré en racontant à Patricia les nuits à veiller ma chienne et l’angoisse insoutenable à la regarder chercher sa respiration, sans pouvoir la soulager.

Au fur et à mesure des séances, j’ai commencé à retrouver une énergie joyeuse et une confiance perdue depuis longtemps. C’était si bon, que je ne me suis pas rendue compte tout de suite que je ne prenais plus de somnifères. Cette dépendance me pesait beaucoup et je me suis sentie libérée et incroyablement vivante, comme si j’avais respiré de l’air pur au sortir d’une pièce enfumée. Il y a de cela désormais trois ans et depuis ce jour, je n’ai plus jamais eu recours à un médicament pour dormir.

Pendant ce temps, à intervalles réguliers et de plus en plus rapprochés, ma chienne avait des crises d’insuffisance respiratoire très pénibles, que malgré les soins attentifs de son vétérinaire, nous ne parvenions à soulager que peu de temps. Nous nous étions mis d’accord pour refuser tout acharnement thérapeutique, et à chaque crise je me disais que je ne serais pas capable d’en vivre une nouvelle, mais son état se normalisait un peu à grand renfort de diurétiques et, à la voir si heureuse de vivre, je reculais sans cesse l’heure de la séparation.

Jusqu’à cette nuit terrible passée à cajoler ma chienne, qui étouffait silencieusement dans mes bras. Au petit matin, épuisée et ne pouvant plus supporter un seul instant de la voir ainsi, j’ai envoyé deux textos : l’un à Patricia pour lui demander d’apaiser les souffrances de mon chien à distance si elle le pouvait, l’autre à son vétérinaire pour lui demander de nous recevoir à la première heure pour mettre un terme à cette pauvre vie. Terrassée de fatigue et de chagrin, je suis montée m’allonger quelques instants et me suis endormie. A mon réveil, affolée, je me suis précipitée au RDC croyant trouver ma chienne morte. Elle n’était plus dans la maison. J’ai couru au jardin et abasourdie, je l’ai vue venir à moi au petit trot, gaie et câline, en pleine forme compte tenu de ses seize ans. Elle a dévoré un petit déjeuner bien mérité et nous avons continué toutes les deux un chemin qui allait durer encore une année. Un texto de Patricia m’attendait ce matin-là, indiquant qu’elle avait immédiatement commencé le REÏKI…

Un incident rigoureusement similaire s’est produit quelques mois plus tard et j’ai pu à nouveau constater le bienfait incroyable du REÏKI sur ma chienne, qui s’est à nouveau rétablie pour quelques semaines de plus. En dépit de soins hebdomadaires prodigués par Patricia, son état s’est bien évidemment dégradé au fur et à mesure de l’aggravation de sa maladie, mais nous avons continué ma chienne et moi un chemin qui devait durer encore près d’un an, sans qu’elle ne donne le moindre signe de souffrance.

Nous avons depuis, de beaucoup plus jolis souvenirs et cela fait maintenant plus de trois ans que Patricia veille à ce que mes animaux et moi-même ne manquions jamais de cette énergie très bénéfique qu’elle nous transmet régulièrement. C’est ainsi qu’elle a pu soulager par exemple la souffrance de l’un de mes chevaux en pleine crise de fourbure, et ce printemps, accompagner ma jument dans la fin de sa gestation. Je la trouvais en effet extrêmement stressée (c’était son premier poulain) et nous craignions à juste titre que la mise-bas ne soit difficile. Dès les premiers soins de REÏKI, la jument a retrouvé aussitôt sa sérénité et a mis au monde un poulain splendide, dans le plus grand calme et avec la facilité d’une poulinière confirmée !
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